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Si souscrire une assurance décès invalidité n’est pas imposé par la loi, cette démarche est toutefois aujourd’hui fortement recommandée. En effet, ce type de contrat permet de prendre en charge l’indemnisation de la banque en cas d’invalidité ou de décès de l’assuré. Il est pour cela important de prendre le temps de comparer les offres afin d’opter pour celle la plus adaptée, comme à notre avis SPVIE qui propose des assurances de prévoyance.

Assurance décès invalidité : quels sont les risques couverts ?

Lors de la souscription d’une assurance décès invalidité, plusieurs garanties peuvent être proposées, à savoir :

  • une garantie d’incapacité temporaire ou totale de travail (ITTT), qui permet de sécuriser le remboursement d’un crédit immobilier lorsque l’emprunteur ne peut plus exercer une activité rémunérée, et ce, jusqu’à ce qu’il retrouve une activité professionnelle pour laquelle il est apte ;
  • une garantie invalidité permanente et absolue (ou perte totale et irréversible d’autonomie – PTIA), qui est exigée par les banques lors d’un prêt immobilier. Cette garantie se substitue à l’emprunteur lorsque celui-ci devient incapable d’exercer une activité professionnelle ;
  • une garantie décès, très souvent imposée par les banques lors de l’octroi d’un crédit. Si l’emprunteur décède, le remboursement de son prêt immobilier est alors pris en charge par cette garantie.

Les caractéristiques de l’assurance décès invalidité

Il est important de souligner que si une assurance décès invalidité a pour objectif d’assurer le remboursement d’un crédit, elle permet également d’intervenir en cas de défaillances financières générées suite à une « incapacité temporaire de travail » ou à une « invalidité permanente et absolue ».

Dans les faits, une garantie décès invalidité peut couvrir :

  • l’incapacité temporaire de travail (ITT), avec le remboursement des mensualités dues ;
  • l’invalidité permanente partielle (IPP) ou totale (IPT), avec là encore le remboursement des mensualités dues ;
  • la perte totale et irréversible d’autonomie (PTIA), toujours avec le remboursement des mensualités dues ;
  • le décès de l’emprunteur, avec le remboursement de la totalité du capital du prêt qui reste à rembourser.

Chacune de ces couvertures fait l’objet d’applications bien distinctes. C’est pourquoi il est important de bien prendre connaissance des modalités du contrat et de se renseigner également sur de nombreux points comme le questionnaire médical, l’âge limite de souscription, les éventuelles clauses liées à l’activité professionnelle de l’emprunteur ainsi que les délais de carence ou de franchise.