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Favoriser les matières premières d’origine française, tel est le nouvel engagement de Daniel Moquet. En effet, le réseau a décidé de privilégier ces matériaux, pour des raisons évidentes de respect de l’environnement, en droite ligne avec sa stratégie de réduction de l’empreinte environnementale de ses activités. Décryptage !

Une évaluation rigoureuse de l’impact environnemental des allées

Daniel Moquet, c’est près de 27 000 projets réalisés chaque année, en collaboration avec 250 entrepreneurs couvrant la France entière. L’activité est, vous l’aurez compris, de grande envergure. Dans un souci de respect de l’environnement, la franchise Daniel Moquet s’est donc engagée dans une démarche responsable, d’abord en évaluant l’impact écologique de ses produits. Ainsi, dans son désir d’appréhender précisément cette empreinte, l’enseigne s’est associée à un cabinet d’audit expert, s’appuyant sur la méthodologie préconisée par l’ADEME.

Concrètement, cette analyse approfondie a scruté l’intégralité du cycle de vie de chaque produit proposé, de la source des matières premières à la fin de vie du produit. Objectif : offrir une comparaison transparente des différents revêtements et guider le choix des clients de manière éclairée. C’est ainsi qu’est né le DM Score, l’indice propriétaire de Daniel Moquet, affiché de manière visible sur chaque revêtement pour évaluer son impact environnemental, mais aussi social. Structuré autour de quatre niveaux (A à D), cet indice reflète un gradient d’impact, du plus faible au plus élevé. Au-delà de ces notes, des critères qualitatifs et quantitatifs viennent affiner cette évaluation, garantissant ainsi une démarche complète et consciencieuse.

Réduire son empreinte carbone, un transport à la fois

Leader de la conception d’allées, Daniel Moquet l’est tout autant en matière de responsabilité environnementale, notamment du point de vue du transport, identifié comme l’une des principales sources d’empreinte carbone de l’enseigne. Sans surprise donc, le volet transport a été placé au cœur de ses préoccupations écologiques. Nous vous le disions, dans une logique d’éco-responsabilité, l’entreprise a décidé d’opérer un tournant majeur : privilégier des fournisseurs locaux. Une décision stratégique qui permet de réduire significativement l’impact environnemental de l’acheminement des matériaux. Le revêtement Alvéostar® en est un parfait exemple, avec une notation environnementale qui varie en fonction de la proximité des fournisseurs de matières premières.

Au-delà de l’origine géographique du produit, l’analyse de Daniel Moquet englobe le cycle de vie complet du revêtement, de l’extraction des matières premières à la fin de vie du produit. Et à ce niveau, plusieurs critères sont minutieusement étudiés :

  • L’origine et le type de matières premières employées lors de l’installation ;
  • Le transport des matériaux jusqu’au site de construction ;
  • Les spécificités logistiques lors de la pose, y compris l’usage de machineries et autres trajets annexes ;
  • Les consommables associés durant la longévité du produit, estimée à 20 ans ;
  • Et enfin, les méthodes employées pour traiter le produit en fin de vie.